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Google fête ses 12 ans
Google fête ses 12 ans avec un nouveau Doodle
Ce lundi 27 Septembre, le moteur de recherche Google vient de se doter d'un nouveau Doodle (logo) pour fêter ses 12 ans.
Après la longue recherche qui avait énervée la blogosphère avec le Google Doodle du 07 Septembre 2010
Le gâteau d'anniversaire est l'œuvre de Wayne Thiebaud grand spécialiste américain de la peinture des...."gâteaux" et pâtisseries.
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TOP 200 journaux les plus consulté du monde
L’organisme international des médias et journaux, 4International Media & Newspapers (4IMN), a classé les journaux dan sle monde en fonction de leur popularité.
Mozilla imagine le téléphone du futur
SMARTPHONE - Mozilla offre un peu de rêve... Qui ne risque pas de se concrétiser de sitôt...
En 2009, Mozilla avait lancé un défi à sa communauté: imaginer le téléphone du futur. Vendredi, le vainqueur a été dévoilé, avec le SeaBird, du designer Billy May. Au programme: un design avant-gardiste, deux pico-projecteurs, de l'électricité sans fil et une interaction «à la Minority Report».
Le double pico-projecteur remplit deux fonctions: le premier permet diffuser une image sur un écran géant, pour une présentation PowerPoint, par exemple. Celui de l'autre côté peut, lui, se charger de projeter un clavier virtuel sur lequel on peut taper –les mouvements des doigts étant suivis par une caméra. Besoin d'interagir avec l'écran? Pas besoin de le toucher: une mini télécommande bluetooth fait office de sorte de Wiimote.
Malheureusement, à la question «comptons-nous fabriquer ce téléphone?», Mozilla répond «non». Dans l'absolu, toutes ces technologies existent –on a pu les apercevoir au CES de Las Vegas, en janvier– mais elles coûtent encore cher. D'autres fabricants y trouveront peut-être de l'inspiration.
P.B.
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SOURCE: www.20minutes.fr
Des cils, des sourcils, est-ce bien utile ?
Si les yeux sont le reflet de l’âme, les cils et les sourcils n’y sont pas étrangers. Colère, doute, étonnement, les sourcils trahissent le plus souvent nos émotions. Les cils
À Manille, les plus pauvres vivent dans un cimetière
REPORTAGE - Plus d'un tiers des Philippins vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les plus abandonnés adossent leur malheur aux sépultures.
Ce sont les «feux follets du cimetière». Un joli nom pour une hideuse réalité: des gamins crasseux qui surgissent du dédale des tombes empilées comme des conteneurs et galopent dans les immondices.
À Navotas, une des villes satellites constituant la flaque urbaine de Manille, six cents familles ont trouvé refuge dans le cimetière municipal et s'entassent dans des baraques brinquebalantes adossées aux sépultures. L'expansion économique relativement solide des Philippines est rognée par l'une des plus fortes croissances démographiques de la planète (2,3%): plus d'un tiers des 94 millions d'habitants se retrouvent sous le seuil de pauvreté. Et les plus démunis cohabitent avec les morts.
Caveau aménagé
Ainsi va la vie dans ce cimetière des faubourgs nord de la capitale, qui sentent la saumure de poisson et la pâte de crevette: les diseuses de prières viennent le lundi allumer des cierges et égrainer leur chapelet au milieu des cris d'enfants, de la musique, du linge qui sèche entre les croix et des braseros sur lesquels mijotent les maigres ragoûts. Les «feux follets» de Navotas deviendront des hoodlum, des gangsters au couteau facile. En attendant, ils écrasent les cafards. «Sur les grands, la mort craque, sur les petits, elle reste muette», s'amuse Emmanuel, 8 ans, qui trimbale par la patte un chaton famélique entre la vie et la mort. Ils tentent de faire décoller des petits cerfs-volants en sautant de tombe en tombe, et jouent au kara y kruz, «pile ou face», avec des pièces de 1 peso, à l'ombre d'une madone qui lève les yeux au ciel.
Ceux qui se sont déjà taillé une place dans un gang, les cheveux pris en masse dans une pâte décolorante, s'esclaffent devant des clips idiots au fond d'un caveau aménagé en salle de juke-box. Ou friment autour d'un billard dont les pieds sont calés sur des plaques mortuaires. Au bout d'une allée, un maigrichon en haillons extirpe un crâne d'une boue nauséabonde. Fier de sa trouvaille, qu'il fiche au bout d'un bambou, il court après les filles pour les effrayer. «Il se prend pour un multo», rigole Emmanuel, le tueur de cafards. Un fantôme issu du folklore philippin censé hanter le monde des vivants pour se venger. «Tous les cinq ans, les corps sont extraits des tombes faute d'espace», explique Adelina Santos, jeune mère de quatre enfants, qui tient la «tombe épicerie» ravitaillant les résidents. Les enfants sont devenus incollables sur le squelette humain.
«Nous n'avons rien à dire, rien à montrer»
Arpenter les allées du cimetière-bidonville est une plongée au cœur de la misère la plus absolue. La «cour des miracles» vaque à ses obsessions. Un pauvre hère aux dents déchaussées réclame une cigarette. Les pieds nus et la robe déchirée, une jeune fille ivre de gin titube, emportée par son ventre rond d'une grossesse avancée. Torse nu, un homme serre amoureusement son coq de combat contre sa poitrine en attendant une gloire impossible. Un borgne répète en boucle qu'«ici, on allaite et on s'aime debout, adossés aux pierres tombales», puis rit à gorge déployée. Au fond d'une alvéole en attente d'un cercueil, un enfant à la tête grise et aux yeux hébétés gonfle de son souffle le sac en plastique qu'il tient contre sa bouche, avant d'aspirer l'air, chargé du solvant industriel vendu pour décaper les sols.
À Navotas, les histoires se chevauchent. Les larcins au marché aux poissons, le solvant, les passes pour se payer ses cahiers et ses livres de classe. Les fils morts poignardés dans des rixes, les filles engrossées. Et un avenir qu'on n'ose même plus envisager.
Femmes vampires
Dans le baldaquin de pierre abritant un certain Perez, mort en 2007, «avec le fantôme duquel elle s'est accommodée», Charita Agda, 62 ans, se désole: «Nous n'avons rien, rien à dire, rien à montrer.» Elle tente de réveiller du pied une masse inerte, son mari, Roberto. Il finit par émerger. Les yeux mi-clos, il se ressert une rasade de rhum trouble. «J'attends que Dieu me rappelle à lui», grogne-t-il, avant de se rendormir.
«La nuit, tout devient si étrange», raconte Charita la superstitieuse, qui parvient difficilement à gagner 150 pesos par jour en vendant du poisson. Mais l'écoute attentive de chaque bruit confond la peur, assure-t-elle. Il y a les hurlements des fantômes, les lourds battements d'ailes des aswang, ces femmes vampires et sorcières à la fois, les crissements des mananangal, ces mangeuses de fœtus qui éviscèrent leurs victimes. Dans ce pays où l'imaginaire vagabonde facilement, les histoires les plus effrayantes courent d'une cabane à l'autre. Et tous serrent dans leur poing un sel salvateur, censé provoquer de graves brûlures chez ces êtres maléfiques que ces misérables s'imaginent condamnés à côtoyer au quotidien.
------------------------ Par Florence Compain
SOURCE: www.lefigaro.fr
Le pigeon est plus rapide que l'Internet haut débit
Yorkshire, Royaume-Uni - Le pigeon comme moyen de communication s’est prouvé plus rapide que le haut débit lors d’une course de vitesse visant à montrer les faibles performances de ce dernier dans les zones rurales.
Alors que les zones rurales peinent toujours à obtenir un haut débit performant, une course de vitesse a démontré que dans certains villages peu desservis du Royaume-Uni, il vaut mieux recourir aux pigeons voyageurs. Pour ce faire
Quatre universités françaises figurent dans le classement mondial du Times
La saison des classements des universités au niveau international a commencé. Et le millésime 2010 ne s’annonce pas bon pour la France.
Après le classement du
L'avion espion qui peut voler cinq ans
Boeing a de quoi se frotter les mains. Son département chargé du développement d’avions d’espionnage a remporté un appel d’offre d’une valeur de 89 millions de dollars (plus de 68 millions d’euros) lancé par le ministère de la Défense américain.
La DARPA
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