C'est LA question que tout le monde se pose : comment réagir face à un contrôle de police sur la route ? Il existe trois grandes règles à respecter. Evidemment, lorsqu'il s'agit d'accidents graves ou d'infractions lourdes, ces règles ne s'appliquent pas : vous êtes condamnés d'avance (et tant mieux, non ?).
Oui, mettons nous d'accord tout de suite. Ce qui suit ne s'applique qu'aux " petits " contrôles, suite à une petite infraction. Si vous venez de traverser une ville à plus de 150 km/h, aucune règle de conduite (ah ! ah ! ah !) face aux forces de l'ordre ne pourra avoir d'effet atténuant : vous allez payer (et c'est normal, non ?). Mais dans le cas d'un petit dépassement de vitesse par exemple, certaines dispositions pourraient vous permettre de vous en tirer assez bien.
Première règle : ne discutez pas
Evitez les "mais tout le monde le fait ça monsieur l'agent" ou bien les "oui bon, j'ai mordu la ligne blanche, c'est pas la mort hein". Ils entendent ça toute la journée. Et s'il y a bien une chose que les forces de l'ordre détestent, c'est la discussion. Ne croyez pas une seconde que prendre à la gorge le gendarme qui s'approche de votre vitre pourrait vous être utile. Vous n'allez réussir qu'une chose : à le braquer. Alors, non, on ne discute même pas de l'infraction. On reconnaît qu'on a commis le délit énoncé et on se tait ! N'oubliez pas que les gendarmes et autres policiers sont des gens susceptibles.
Ne mentez pas !
Deuxième règle, qui va de paire avec la première : ne mentez pas. On est tous tenté de le faire : " Non, c'est pas moi, vous avez du vous tromper. Jamais, jamais je ne pourrais faire une chose pareille. Ce doit être la voiture qui me suivait ". A mois d'être sûr qu'il s'agit effectivement d'une erreur de la part des forces de l'ordre, cette technique est désastreuse. Reconnaissez plutôt vos torts, quitte même à faire votre mea culpa. Vous verrez, cela se passera nettement mieux. Et qui sait, peut-être bénéficierez vous d'une certaine indulgence en agissant ainsi.
Restez calme
Voici la dernière - mais non la moindre - des règles à suivre lors d'un contrôle routier. Surtout, surtout, surtout, restez calme. L'agressivité d'entrée de jeu compliquera irrémédiablement la situation. Soyez polis avec les forces de l'ordre (autant qu'elles le sont avec vous au moins) et ne croyez pas que sourire serait vous trahir. Ca ne mange pas de pain et ça pose les bases à une discussion sereine. Suivez les instructions que l'on vous donne, comme un bon élève : " vos papiers s'il vous plaît, veuillez descendre du véhicule… ". On ne soupire pas, on ne se crispe pas. Si vous n'avez pas commis l'irréparable (exemple : vous venez de franchir une ligne blanche sur 300 mètres), il n'y a pas de raison que le contrôle se passe mal.
Voilà donc trois grandes règles à respecter en cas de contrôle routier : ne discutez pas, ne mentez pas et restez calme. Si vous respectez déjà ces trois principes, vous verrez que même les forces de l'ordre ont parfois la main sur le cœur…
F. Grimpret
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SOURCE: www.fr.cars.yahoo.com
Oui, mettons nous d'accord tout de suite. Ce qui suit ne s'applique qu'aux " petits " contrôles, suite à une petite infraction. Si vous venez de traverser une ville à plus de 150 km/h, aucune règle de conduite (ah ! ah ! ah !) face aux forces de l'ordre ne pourra avoir d'effet atténuant : vous allez payer (et c'est normal, non ?). Mais dans le cas d'un petit dépassement de vitesse par exemple, certaines dispositions pourraient vous permettre de vous en tirer assez bien.
Première règle : ne discutez pas
Evitez les "mais tout le monde le fait ça monsieur l'agent" ou bien les "oui bon, j'ai mordu la ligne blanche, c'est pas la mort hein". Ils entendent ça toute la journée. Et s'il y a bien une chose que les forces de l'ordre détestent, c'est la discussion. Ne croyez pas une seconde que prendre à la gorge le gendarme qui s'approche de votre vitre pourrait vous être utile. Vous n'allez réussir qu'une chose : à le braquer. Alors, non, on ne discute même pas de l'infraction. On reconnaît qu'on a commis le délit énoncé et on se tait ! N'oubliez pas que les gendarmes et autres policiers sont des gens susceptibles.
Ne mentez pas !
Deuxième règle, qui va de paire avec la première : ne mentez pas. On est tous tenté de le faire : " Non, c'est pas moi, vous avez du vous tromper. Jamais, jamais je ne pourrais faire une chose pareille. Ce doit être la voiture qui me suivait ". A mois d'être sûr qu'il s'agit effectivement d'une erreur de la part des forces de l'ordre, cette technique est désastreuse. Reconnaissez plutôt vos torts, quitte même à faire votre mea culpa. Vous verrez, cela se passera nettement mieux. Et qui sait, peut-être bénéficierez vous d'une certaine indulgence en agissant ainsi.
Restez calme
Voici la dernière - mais non la moindre - des règles à suivre lors d'un contrôle routier. Surtout, surtout, surtout, restez calme. L'agressivité d'entrée de jeu compliquera irrémédiablement la situation. Soyez polis avec les forces de l'ordre (autant qu'elles le sont avec vous au moins) et ne croyez pas que sourire serait vous trahir. Ca ne mange pas de pain et ça pose les bases à une discussion sereine. Suivez les instructions que l'on vous donne, comme un bon élève : " vos papiers s'il vous plaît, veuillez descendre du véhicule… ". On ne soupire pas, on ne se crispe pas. Si vous n'avez pas commis l'irréparable (exemple : vous venez de franchir une ligne blanche sur 300 mètres), il n'y a pas de raison que le contrôle se passe mal.
Voilà donc trois grandes règles à respecter en cas de contrôle routier : ne discutez pas, ne mentez pas et restez calme. Si vous respectez déjà ces trois principes, vous verrez que même les forces de l'ordre ont parfois la main sur le cœur…
F. Grimpret
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SOURCE: www.fr.cars.yahoo.com
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