Une équipe de chercheurs de l'Université de Montréal remet en doute, avec une découverte publiée dans le Journal of Clinical Endocrynology & Metabolism, la théorie selon laquelle nos souvenirs ne peuvent plus être modifiés une fois stabilisés dans le cerveau. Un médicament, sur lequel ils travaillent, permettrait d'atténuer les émotions négatives liées à un souvenir douloureux.