ZARKANZAR: 11 février 2011

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Managers, espionnez vos salariés depuis votre smartphone

« 70% des dispositifs de vidéosurveillance que j'installe dans les entreprises sont utilisés pour surveiller les salariés. »
Ce constat de Léo Essuied, professionnel de la « vidéoprotection », fait froid dans le dos :
  • une simple déclaration auprès de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) suffit pour installer un dispositif de vidéosurveillance, avec enregistrement – sans, aucune démarche administrative n'est nécessaire ;
  • on ne connaît pas le nombre de caméras installées dans les lieux privés – celles « autorisées », plus de 400 000 selon le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, le sont dans les lieux ouverts au public : administrations, gare et aéroports, voie publique, etc.
Grâce aux nouveaux systèmes de vidéosurveillance intégrant téléphones portables et webcams, de nombreux chefs d'entreprises se transformeraient en Big Brother. Certains témoignages semblent d'ailleurs tout droit sortis du roman de George Orwell, « 1984 », comme celui de cette employée de pharmacie : la suite...

Dockers de Marseille : 4.500 euros pour 12 heures de travail par semaine ?

 "Je veux être docker !" s'exclame un internaute dans les commentaires sur La Provence.com.

A lire l'article auquel il se réfère, on le comprend.
Selon un rapport de la cour de comptes que cite La Provence, les dockers de Marseille et de Fos-sur-Mer gagneraient jusqu'à 4.500 euros par mois pour 12 heures de travail effectif par semaine.

Mais tout n'est pas si clair...

12h par semaine, vraiment ?
Le rapport explique que les conducteurs d'engin travaillent par équipes de 2.

Quand l'un conduit une grue ou un portique, l'autre "demeure à proximité, accomplissant des tâches annexes, ou reste en salle de repos". D'où un temps de travail effectif sur son engin de 3 heures par jour...

Mais ni La Provence ni Le Figaro qui sort l'information n'explicitent le terme de "tâches annexes" que la Cour des comptes décrit dans son rapport comme "éventuelles opérations de servitude ou de dépannage"... qui sont donc bien du travail.

4500 euros par mois, vraiment ? Lire la suite sur lepost.fr