Un volcan en éruption, une tornade qui s'élève au-dessus d'un  champ ou encore la banquise et ses glaciers. Les paysages photographiés  par l'artiste New Yorkais Matthew Albanese sont exceptionnels. Et  pourtant, il s'agit de décors faits à la main à partir de substances et  matériaux du quotidien : paprika, sucre, laine, fausse fourrure, verre  ou encore coton.
Matthew Albanese a passé des mois entiers à  travailler pour pouvoir prendre ces photos à couper le souffle. Il a  d'abord élaboré des maquettes truffées de détails minutieux qu'il a  ensuite photographiées en jouant sur la lumière, la profondeur de champ,  la perspective, et en utilisant les propriétés des matériaux utilisés.  Aucune retouche photo n'a donc été nécessaire, ce qui rend les résultats  encore plus impressionnants.
Ainsi, le New Yorkais a passé énormément de temps à faire cuire du sucre et à peindre un décor grâce à du colorant alimentaire bleu, pour obtenir un paysage  qui donne l'illusion que l'homme est allé à l'aventure photographier  des glaciers... Alors qu'il n'a pas bougé de la Grosse Pomme et se  trouvait dans un studio ! Plus incroyable encore : son cliché  représentant un volcan  en éruption paraît réel, mais est en fait une maquette réalisée à  partir d'aluminium, de coton et d'encre, éclairée grâce à des petites  ampoules allant de 6 à 60 watts.
Ses autres maquettes, tout aussi belles et réussies, représentent une île, une tornade au-dessus d'un champ, la planète mars, un paysage lunaire ou encore des feux de forêt. Parfois elles mesurent moins d'un mètre, mais grâce à l'angle de vue choisi, Matthew Albanese nous donne l'impression que ces paysages sont sans fin.
Ses autres maquettes, tout aussi belles et réussies, représentent une île, une tornade au-dessus d'un champ, la planète mars, un paysage lunaire ou encore des feux de forêt. Parfois elles mesurent moins d'un mètre, mais grâce à l'angle de vue choisi, Matthew Albanese nous donne l'impression que ces paysages sont sans fin.
Matthew  Albanese s'inspire de films, de paroles de chanson et de sa vie  quotidienne. Une fois que son imagination a parlé, il se concentre sur  un paysage en particulier et cherche la moindre information qui pourra  le guider sur les textures à utiliser pour le rendre le plus réel  possible. 
L'artiste américain a commencé à s'intéresser à ces "strange worlds" ("mondes étranges", nom qu'il a donné à ce projet artistique) il y a trois ans, alors que son travail de "visual merchandiser" devenait ennuyeux. Un jour, en renversant du paprika, la couleur de cette épice lui a inspiré ses clichés de la planète Mars.
Aujourd'hui,  l'artiste a décidé de vendre quelques unes de ses photographies. Il  vous faudra débourser 1.000 dollars (soit environ 756 euros) pour en  obtenir une. Découvrez les images sur maxisciences.com
L'artiste américain a commencé à s'intéresser à ces "strange worlds" ("mondes étranges", nom qu'il a donné à ce projet artistique) il y a trois ans, alors que son travail de "visual merchandiser" devenait ennuyeux. Un jour, en renversant du paprika, la couleur de cette épice lui a inspiré ses clichés de la planète Mars.

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