Il dit faire plus confiance aux femmes qu’aux hommes, au point d’avoir confié sa vie à une petite armée 100 % féminine : les amazones.
1983 : le chef libyen fonde l’Académie militaire pour femmes de Tripoli et s’entoure, dès la fin des années 80, d’un corps d’élite composé d’une quarantaine de soldates dont la mission est d’assurer sa protection : les amazones.
Tantôt en talons hauts, tantôt en treillis, elles doivent être glamour jusqu’au bout des ongles et disponibles en permanence. Une fois sélectionnées (le colonel s’en chargerait personnellement pour chacune d’entre elles), ces futures guerrières suivent un entraînement drastique pendant trois ans. Elles deviennent expertes en combat et en maniement d’armes. Certaines apprennent aussi à piloter des jets MiG. Toutes sont entraînées à tuer.
Ou à se faire tuer. Comme Aïsha, morte criblée de balles lors d’un attentat contre le colonel, en 1998, après s’être jetée au-devant de lui pour le protéger. Sept de ses consœurs sont grièvement blessées.L'article complet sur madame.lefigaro.fr
Ou à se faire tuer. Comme Aïsha, morte criblée de balles lors d’un attentat contre le colonel, en 1998, après s’être jetée au-devant de lui pour le protéger. Sept de ses consœurs sont grièvement blessées.L'article complet sur madame.lefigaro.fr
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