
Adolf Hitler aimait manger du pain et de la confiture d’orange au   petit-déjeuner, ne supportait pas de se sentir observé et perdait   facilement son calme dans les
réunions, selon des documents des services   secrets britanniques rendus publics vendredi.
Jusqu’ici classés  confidentiels, ces documents publiés par les  Archives nationales  britanniques se fondent sur le témoignage d’un  déserteur autrichien de  19 ans, qui aurait vécu entre 1943 et 1944 au  Berghof, la résidence  d’Hitler (1889-1945) dans les Alpes bavaroises.
Selon le récit  donné par le prisonnier de guerre SS Schütze  Obernigg, le Führer était  « doux » dans les échanges personnels mais  enclin « à taper du poing sur la  table et à crier » durant les  réunions.
Obernigg a fourni aux  services secrets britanniques une description  détaillée des habitudes  quotidiennes d’Hitler au Berghof. Selon lui, le  chef du IIIe Reich se  réveillait vers 10h et prenait ensuite un  petit-déjeuner composé de  café, de pain et de confiture d’orange.
Dans l’après-midi, il recevait  des visiteurs, dont son médecin.  Selon le récit d’Obernigg, Hitler  travaillait apparemment jusque tard  dans la nuit et se couchait vers 4h  du matin.
Le déserteur a également expliqué que le Führer ne  supportait pas  « de se sentir observé », au point que ses gardes du corps  avaient pour  consigne de le surveiller sans se montrer…
D’autres  documents également publiés par les Archives nationales  britanniques  montrent que les forces alliées redoutaient l’existence  d’un possible  refuge nazi dans les Alpes autrichiennes, où Hitler  aurait pu tenter une  résistance désespérée.
Des rapports du renseignement de 1944 et  1945 évoquent une « Redoute  nationale nazie » pouvant contenir assez de  vivres et d’armes pour  60.000 « nazis fanatiques » pendant deux ans. Une  note du renseignement  présente cette base supposée comme le lieu où  « l’élite de l’Allemagne  nationale livrera une dernière résistance  désespérée ».
Des rapports détaillés décrivent des mouvements de  troupes, de  carburant et de nourriture dans cette région montagneuse  située aux  confins de l’ouest de l’Autriche et de la Bavière.
Un rapport  du 7 avril 1945 transmis par le renseignement français au  Bureau  américain des services stratégiques, ancêtre de la CIA, précise  que les  Allemands prévoient d’emmener 300.000 à 400.000 prisonniers de  guerre  dans le refuge.
Les documents suggèrent que les Alliés étaient  convaincus de  l’existence de cette base, qui selon les historiens,  n’était pourtant  qu’un mythe.
« Il y avait tout lieu de penser que le  régime nazi se battrait  jusqu’au dernier homme », explique Mark Dunton,  spécialiste d’histoire  contemporaine aux Archives nationales  britanniques.
The Canadian Press
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Rubrique très intéressante!!! Beaucoup d'insolite ce qui enrichit le document. Bravo!
RépondreSupprimerBienvenue et merci pour votre encouragement. N'hésitez surtout pas à nous visiter régulièrement et bien sûr à poster aussi des commentaires. Merci beaucoup
RépondreSupprimerj'ai passé un agréable moment à visiter le site...je reviendrais ! merci !
RépondreSupprimerMerci pour la visite. Bienvenue à tout moment. Et surtout ne nous prive pas de commentaires!
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