Il était une fois le successeur de Bill Gates à la tête de
Microsoft. L’antithèse même de l’emblématique co-fondateur du géant de
Redmond.
Cela
peut vous paraître impensable, mais Bill Gates est un mec déluré.
Derrière son look « week-end bourgeois à la campagne » se cache un
joyeux drille. La meilleure preuve est sans conteste Steve Ballmer,
l’homme à la tête de Microsoft depuis le départ à la retraire de Gates et aussi et surtout un ami de 40 ans.
Une boule d’énergie aux sorties médiatiques fantasques et remarquées et au parcours quasi exclusivement microsoftien.
Une boule d’énergie aux sorties médiatiques fantasques et remarquées et au parcours quasi exclusivement microsoftien.
Bad boy américano-helvéto-russe
Le petit Steven Anthony Ballmer pousse son premier cri (parmi les
milliers qu’il laissera plus tard s’échapper en conférence) en mars
1956, soit moins de 6 mois après la venue au monde de William Henry
Gates. Pur produit d’immigration avec un père suisse et une mère venue
de l’ex-URSS, le petit Stevy grandit dans le Michigan et opte pour
Harvard quand viennent ses 18 ans. C’est dans la prestigieuse
université qu’il rencontre celui qui sera l’un de ses amis les plus
proches et son futur patron, Bill Gates, peut-être au détour d’une
« party » ou d’un symposium sur l’algèbre, qui sait ?
Ballmer n’est pas focalisé sur l’informatique, au contraire de son
nouveau compagnon de campus. S’il étudie les mathématiques à Harvard,
le déjà très gesticulant et énergique futur CEO de Microsoft suit
également les cours d’économie. Comme la plupart des leaders de
l’industrie informatique et web, Steve Ballmer n’ira pas au bout de son
cursus. Sur les conseils de son meilleur ami Gates, il quitte l’école
de commerce de Stanford avant d’avoir eu son diplôme – non sans avoir
fait un crochet de plusieurs mois chez Procter & Gamble (l’un des
leaders de l’industrie de grande consommation) afin de s’aguerrir aux
techniques de vente de pointe – pour rejoindre Microsoft en tant que
gourou des produits de l’entreprise. Retrouvez cet article sur techyou.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de poster un commentaire.