Tout commence par un rêve. Quand je serai grand je serai pompier,
vétérinaire, médecin. Plus tard je serai riche, libre, guéri. Je serai
boss de mon entreprise, j'écrirai un livre, je partirai loin…
Pour que
le rêve se réalise, il faut d'abord y croire, lui donner une échéance,
puis organiser les étapes, en décidant du premier pas à accomplir
maintenant. Il suffit ensuite d'enchaîner rapidement chaque pas en
gardant le focus. Se mettre dans l'action avant que votre « petite voix
vous freine. Ceux qui le font, réussissent. Les autres rêvent encore…
Walt Disney avait l'habitude de dire :it's fun to do the impossible! Il
a réalisé un empire sur le dos d'une souris. Charlie Chaplin est devenu
une icône du cinéma muet alors que sa naissance dans les quartiers
pauvres de Londre, seul avec une mère mentalement fragile aurait pu le
prédestiner à tout autre chose. Guy Laliberté à ses débuts comme clown
de rue pensaient-ils qu'il transporterait les foules vers un univers
réclamé maintenant de tous, à travers la planète? Oprah pensait elle se
hisser à la tête d'un tel empire médiatique? Gandhi, lors de son
passage à l'université de Londre savait-il qu'il deviendrait le leader
qui entrainerait son pays à l'indépendance? Et que dire de notre Céline
Dion nationale! Alors pourquoi ne pourriez-vous pas réaliser votre rêve
le plus cher?
Pour réaliser un rêve il suffit de répondre oui à ces trois questions :
- Est-ce que j'y crois, de tout mon être de tout mon cœur et de toute mon âme?
- Est-ce que je suis prêt à tout faire, vraiment tout?
- Est-ce que je le mérite?
Chacune des questions entraînent bien des pourparlers avec vous-même
ou avec votre « petite voix ». La mienne tente systématiquement de me
préserver de la déception. Si je l'écoutais je serais mieux de ne rien
faire jamais, pour éviter d'être déçu. Même si je la
reconnais comme étant la voix de mon démon intérieur je dois la
combattre pour la faire taire à chaque fois et me dire que c'est aussi
possible que ce soit merveilleux. On parle ici d'un rêve et non d'un
cauchemar… La troisième question restera toujours la plus difficile car
c'est souvent une fois que vous avez renoncé à votre rêve que vous
découvrez que c'était pour une fausse question de mérite. Un sentiment
souvent enfoui dans une blessure d'enfance qu'on croyait réglé.
Réaliser un rêve, c'est s'offrir le plus grand respect pour soi même, comme un grand merci à la vie, à sa
vie. Et comme on a souvent plus tendance à critiquer la vie, on se sent
malhabile à la remercier… de peur d'être déçu… encore une fois… alors
on ne fait rien. On reste là.
Et si l'impossible était seulement, ce que vous n'avez pas … osé?
Et si toute votre vie basculait vers le mieux? Et si vous retrouviez
le pouvoir de changer votre vie pour en faire ce que vous voulez? Et si
vous le méritiez une fois dans toute votre vie… pour commencer?
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Brigitte Morel
SOURCE: www.articlonet.fr
depuis ma tendre enfance j,y est cru je suis rendu a 43 ans appres tant de tentative et d,echec j,ai peur d,avoir perdu mes reves
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